Activités d'enseignement de Mme Lebon
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4. 3ème cas pratique

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Jessica Lebon
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Ven 29 Mai - 12:59
Bonjour

Pour rappel, voici les infos pour vous connecter à la visio:

Jessica Lebon vous invite à une réunion Zoom planifiée.

Sujet : AM 2 - Ethique
Heure : 29 mai 2020 01:00 PM Bruxelles
Chaque semaine le Vendredi
29 mai 2020 01:00 PM
5 juin 2020 01:00 PM
12 juin 2020 01:00 PM
19 juin 2020 01:00 PM
Téléchargez et importez les fichiers iCalendar (.ics) suivants dans votre système de calendrier.
Chaque semaine  : https://us04web.zoom.us/meeting/upYtdOCvqDkuGd2EQwWOLdCC6mB9yD0LrXcT/ics?icsToken=98tyKu6qrjgjHdKXtBqOR7YQAojCXe3wpnpbjacPuS7yNA9_ZiDVYO9ga6tbQPTC

Participer à la réunion Zoom
https://us04web.zoom.us/j/72039762439?pwd=d1BabnNGcXYrcFZwWmNjSGg4M2hKdz09

ID de réunion : 720 3976 2439
Mot de passe : 2fjwdY
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Jessica Lebon
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Ven 29 Mai - 13:58
Voici la vidéo de ce jour (j'avais prévu qu'il ne nous coupe pas la parole cette fois-ci, pourtant... Mais bon...) :



Pour ceux qui n'étaient pas présent lors de la visioconférence, je vais vous demander de réaliser l'exercice de la page 14 (le jeune en SAAE atteint du VIH) du cours avant de regarder la vidéo. Vous devez donc lire la situation, puis écrire ci-dessous ce que vous en pensez, ce que vous feriez et, surtout, pourquoi vous feriez cela. Ce travail est à faire pour la semaine prochaine: le 5/6 à 13h
Je vous rappelle qu'il est obligatoire de participer aux cours.

Ensuite, vous pourrez aller voir la vidéo et la réflexion que nous en avons faites.

Bonne journée à tous
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Sciarretta dylan
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Ven 29 Mai - 14:30
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?


Je choisirais de ne pas divulguer le nom du garçon porteur du HIV pour la bonne raison que les intervenants ont une marche à suivre donc n’ont pas vraiment besoin de connaître le nom. Ils doivent faire leur travail du mieux qu’ils peuvent en respectant leur marche à suivre, c’est ainsi qu’il n’y aura pas de problème. S’ils obtiennent le nom du porteur, cela voudrait dire qu’ils changeraient leurs façons de travailler ?.



SCIARRETTA Dylan
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Tiffany Olivier
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Sam 30 Mai - 21:53
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Pour le respect envers ce jeune et pour secret professionnel entre la personne et le directeur je ne divulgerais pas l identité surtout si des mesures on étais mise en place si il y a du sang je pense que si le nom serais divulger les membres du personnel se comporterait d une autre façon avec le jeune et il se sentirais peut être délaisser et encore plus différent des autres enfin c'est ma vision des choses.

Tiffany
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Estelle.tanriverdi
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Lun 1 Juin - 16:47
bonjour madame ,

Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus VIH. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Je pense qu'il n'est pas nécessaire de donner plus d'information sur le jeune porteur du virus VIH . Premièrement parce que le directeur a prévenu son équipe , ainsi ils pourront réaliser un travail préventif autour du virus ainsi les autres jeunes seront les bon geste a avoir afin de ne pas l'attraper.
Deuxièmement , parce que le faite de montrer du doigt la personne qui a le virus VIH peut provoquer des moqueries , de la méchanceté voir pire . C'est au jeune porteur de décider s'il en parle ou non.
L' équipe est donc soutenu au secret professionnel.


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Manon de craemer
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Mer 3 Juin - 12:26
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

je pense que toutes informations liés aux jeunes est un secret professionnel et que le directeur doit garder les informations pour lui. ce qui est bien est que au niveau de l'équipe ils pourront réaliser un travail la dessus.
je proposerais je ne pas parler de cela au sein de l'institution afin que le jeune ne soit pas pointé du doigts.
De Craemer Manon
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Hannan
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Jeu 4 Juin - 20:01
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Moi je pense que si le directeur a fait sa c'est qu'il est obliger de respecter le secret professionnelle sinon il nous l'aurais dis et je comprend que le jeune ne veuille pas révélé son identité pour éviter l'exclusion et les moquerie,mais du coup on va devoir bien sensibiliser le groupe dans sa globalité sans révéler l'identité du jeunes et mettre en place un quotidien plus sécurisant pour tous ,ou on prendra le moins de risque possible mais le problème c'est que sa reste un jeune et il a besoin d'un suivis ,d'un accompagnement personnelle pour comprendre ce qu'il vis et comment il va devoir vivre avec ce virus sans mettre les autres en dangers et les conséquences que pourrons avoir certain actes etc.

En faite si on n'est pas au courant la question que je me pose c'est qui va s'occuper de cette accompagnement ,de le rassurer et de l'informer ?
Car il vis quelques choses de difficile et si il est dans une institution ou en parle pour les sensibilisé en plus et qu'il se sent concerné mais qu'il garde tous pour lui sans pouvoir en parler sa risque d’être très difficile pour lui .

Donc vraiment je me questionne sur le déroulement de l'accompagnement de ce jeune parce que oui on va sensibilisé et informer tous le groupe sur le sujet etc mais il auras peur de posé des questions et de rentrer un peu plus dans le sujet au risque de se faire (démasqué) on va dire ,donc ce jeune vivra toujours ce tabous et n'ayant même pas une personne à par l'infirmier et le directeur qui sont au courant et qui n'auront pas de relation de confiance avec ce jeune cava vraiment être très dur pour lui mais bon d'un autres coté je me dis que si l'éducateur à une attitude positive et que le jeunes vois qu'il est digne de confiance à force il aura peut être assez confiance en lui pour lui avouez et l'éducateur pourras l'aider et le rassurer en partageant des choses et le sensibilisant personnellement mais il se peut que sa ne se produisent jamais .



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Hannan
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Jeu 4 Juin - 20:32
.


Dernière édition par Hannan le Ven 5 Juin - 10:41, édité 1 fois
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catamotrystan
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Ven 5 Juin - 9:48
Le directeur  a le devoir du secret professionnel et respect de la vie privée du jeune, les professionnels sont sensés gérer ça, il s'agit de leur métier, leur réaction me fait peur si ils sont déjà paniqués imaginez si les autres bénéficiaires sont au courant?!
Il s'agit de prendre chaque bénéficiaire dans sa singularité et de ne prêter aucun jugement. Si les professionnels ont cette réaction comment vont-il pouvoir encadrer le jeune ? Les professionnels sont au courant des mesures à prendre en cas de VIH ou autre problème de santé c'est à eux de montrer l'exemple, de rassurer, et d'éviter la panique. Il faut sensibiliser les jeunes, sécuriser et accompagner le jeune porteur, il vit avec une maladie difficile à accepter par lui et les autres donc il faut que les professionnels soient à l'écoute et puisse l'aider au mieux à l'intégration au sein d'un groupe comme ils le feraient pour un autre bénéficiaire qui n'est pas atteint du VIH. Je ne vois donc pas l'utilité de mettre une étiquette sur ce jeune, et donc de devoir prévenir tout les corps professionnels de l'établissement. Le jeune pourra en parler si il en ressent le besoin, mais il a surtout besoin de ne pas se sentir différent. Lorsqu'il tissera des liens avec les professionnels, une confiance s'installera et si son besoin d'en parler est présent, il pourra se confier afin d'être rassuré.

cathy
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Hannan
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Ven 5 Juin - 10:40
Ah c'est vrai ta tout fait raison Cathy ,super réflexion
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Jessica Lebon
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Ven 5 Juin - 14:05
Sciarretta dylan a écrit:Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?


Je choisirais de ne pas divulguer le nom du garçon porteur du HIV pour la bonne raison que les intervenants ont une marche à suivre donc n’ont pas vraiment besoin de connaître le nom mais dans ce cas, les éducateurs ne peuvent pas faire de suivi le concernant et ne peuvent pas vérifier qu'il ne prend pas de risques. Ils doivent faire leur travail du mieux qu’ils peuvent en respectant leur marche à suivre, c’est ainsi qu’il n’y aura pas de problème on a parfois des problèmes, même quand on a fait de son mieux. S’ils obtiennent le nom du porteur, cela voudrait dire qu’ils changeraient leurs façons de travailler ?. ils pourraient faire plus attention à lui, ils pouraient prévenir l'école, qui ne sait pas qu'ils doivent prendre des précautions et ne peuvent donc pas assurer leur ssécurité et celles des autres élèves



SCIARRETTA Dylan

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Jessica Lebon
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Ven 5 Juin - 14:08
Tiffany Olivier a écrit:Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Pour le respect envers ce jeune et pour secret professionnel entre la personne et le directeur je ne divulgerais pas l identité surtout si des mesures on étais mise en place si il y a du sang je pense que si le nom serais divulger les membres du personnel se comporterait d une autre façon avec le jeune et il se sentirais peut être délaisser et encore plus différent des autres enfin c'est ma vision des choses. Et les autres adolescents? qu'en est-il de leur sécurité? Il n'y a pas toujours quelqu'un derrière eux. Et à l'école? Les profs ne savent pas qu'un de leurs élèves a le VIH, ils ne prendront donc pas de précautions s'il se blesse.

Tiffany

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Ven 5 Juin - 14:12
Estelle.tanriverdi a écrit:bonjour madame ,

Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus VIH. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Je pense qu'il n'est pas nécessaire de donner plus d'information sur le jeune porteur du virus VIH . Premièrement  parce que le directeur a prévenu son équipe ,  ainsi ils pourront  réaliser un travail préventif autour du virus ainsi les autres jeunes seront les bon geste a avoir afin de ne pas l'attraper. ce qui incitera les autres ados à chercher qui est atteint, en observant tout le monde, en émettant des jugements et/ou des accusations et pas nécessairement sur la bonne personne
Deuxièmement  ,  parce que le faite de montrer du doigt la personne qui a le virus VIH peut provoquer des moqueries si on suspecte un cas, il y en aura, même sans connaitre le nom de la personne. il entendra les moqueries et saura qu'elles sont pour lui , de la méchanceté voir pire . C'est au jeune porteur de décider s'il en parle ou non.
L' équipe est donc soutenu au secret professionnel. Et l'école? Elle ne sais rien, elle, et ne peut donc pas prendre de précaution. N'est-ce pas un risque pour les enseignants et les autres élèves?



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Ven 5 Juin - 14:16
Manon de craemer a écrit:Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

je pense que toutes informations liés aux jeunes est un secret professionnel et que le directeur doit garder les informations pour lui. Quitte à mettre en danger les autres adolescents? Il n'y a pas Toulouse un éduc derrière euxce qui est bien est que au niveau de l'équipe ils pourront réaliser un travail la dessus. quel travail? comment?
je proposerais je ne pas parler de cela au sein de l'institution afin que le jeune ne soit pas pointé du doigts. on en revient à la sécurité des autres, que cela soit les adolescents du centre, les profs de l'école ou les élèves. Ne méritent-ils pas d'être protégé également?
De Craemer Manon

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Jessica Lebon
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Ven 5 Juin - 14:22
Hannan a écrit:Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Moi je pense que si le directeur a fait sa c'est qu'il est obliger de respecter le secret professionnelle  sinon il nous l'aurais dis n'y a-t-il pas d'exceptions au secret professionnel? et je comprend que le jeune ne veuille pas révélé son identité pour éviter l'exclusion et les moquerie,mais du coup on va devoir bien sensibiliser le groupe dans sa globalité sans révéler l'identité du jeunes ils se douteront que l'un d'entre eux a le VIH et porteront surement des accusations sur l'un ou l'autre et mettre en place un quotidien plus sécurisant pour tous ,ou on prendra le moins de risque possible mais le problème c'est que sa reste un jeune et il a besoin d'un suivis ,d'un accompagnement personnelle pour comprendre ce qu'il vis et comment il va devoir vivre avec ce virus sans mettre les autres en dangers et les conséquences que pourrons avoir certain actes etc. l'éducateur n'aurait-il pas un rôle à jouer par rapport à cela?

En faite si on n'est pas au courant la question que je me pose c'est qui va s'occuper de cette accompagnement ,de le rassurer et de l'informer ? l'infi? peut-être aussi le psy si on le met dans la confidence
Car il vis quelques choses de difficile et si il est dans une institution ou en parle pour les sensibilisé en plus  et qu'il se sent concerné  mais qu'il garde tous pour lui sans pouvoir en parler  sa risque  d’être très difficile pour lui .

Donc vraiment je me questionne sur le déroulement de l'accompagnement de ce jeune parce que oui on va sensibilisé et informer tous le groupe sur le sujet etc mais il auras peur de posé des questions et de rentrer un peu plus dans le sujet au risque de se faire (démasqué) on va dire ,donc ce jeune vivra toujours ce tabous  et n'ayant même pas une personne à par l'infirmier et le directeur qui sont au courant et qui n'auront pas de relation de confiance avec ce jeune cava vraiment être très dur pour lui et donc, que proposez-vous? mais bon d'un autres coté je me dis que si l'éducateur à une attitude positive et que le jeunes vois qu'il est digne de confiance à force il aura peut être assez confiance en lui pour lui avouez et l'éducateur pourras l'aider et le rassurer en partageant des choses et le sensibilisant personnellement mais il se peut que sa ne se produisent jamais .
Et concernant l'école? Ils n'ont pas besoin de savoir?



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Jessica Lebon
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Ven 5 Juin - 14:30
catamotrystan a écrit:Le directeur  a le devoir du secret professionnel et respect de la vie privée du jeune n'y a-t-il pas d'exceptions?, les professionnels sont sensés gérer ça, il s'agit de leur métier, leur réaction me fait peur si ils sont déjà paniqués ils le sont peut-être parce qu'ils ne savent pas qui est concerné? imaginez si les autres bénéficiaires sont au courant?!
Il s'agit de prendre chaque bénéficiaire dans sa singularité et de ne prêter aucun jugement. Si les professionnels ont cette réaction comment vont-il pouvoir encadrer le jeune ? Là, ils vont peut-être se méfier de tout le monde? Les professionnels sont au courant des mesures à prendre en cas de VIH ou autre problème de santé c'est à eux de montrer l'exemple, mais ils ne peuvent pas être derrière tous les ados 24h/24 de rassurer qui?, et d'éviter la panique. Il faut sensibiliser les jeunes alors, ne se douteront-ils pas que l'un des leurs est atteint? au risque que chaque espionne l'autre afin de découvrir qui est porteur du virus?, sécuriser et accompagner le jeune porteur difficile s'ils ne savent pas qui c'est, il vit avec une maladie difficile à accepter par lui et les autres donc il faut que les professionnels soient à l'écoute c'est peut-être pour ça qu'ils veulent savoir de qui il s'agit et puisse l'aider au mieux à l'intégration au sein d'un groupe pareil, on ne peut pas intégrer une personne si on ignore son identité comme ils le feraient pour un autre bénéficiaire qui n'est pas atteint du VIH. Je ne vois donc pas l'utilité de mettre une étiquette sur ce jeune, et donc de devoir prévenir tout les corps professionnels de l'établissement. Le jeune pourra en parler si il en ressent le besoin, mais il a surtout besoin de ne pas se sentir différent. Lorsqu'il tissera des liens avec les professionnels, une confiance s'installera et si son besoin d'en parler est présent, il pourra se confier afin d'être rassuré. Et en attendant, s'il se passe un drame, vous faites quoi? Par exemple, à l'école, qui ne sait pas qu'elle doit faire attention. N'est-ce pas mettre en danger les autres personnes?

cathy

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Bahia-sd
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Sam 6 Juin - 15:50
Bonjour madame,
Ce que je penses de cette situation ;
C’est que tout d’abord l’équipe est tenu au secret professionnelle donc en aucuns cas, l’équipe doit divulguer l’information.
C’est au jeune de prendre la décision si il veut ou pas se prononcer à ce sujet. Les professionnels sont sensées savoir les mesures à prendre en cas de contacte avec le sang. Donc cela n’est pas nécessaire de divulguer l’information aux collègues. Il faut juste prendre les bonnes mesures et les bonnes précautions.

Saïd Bahia
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Jessica Lebon
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Lun 8 Juin - 12:03
Bahia-sd a écrit:Bonjour madame,
Ce que je penses de cette situation ;
C’est que tout d’abord l’équipe est tenu au secret professionnelle donc en aucuns cas, l’équipe doit divulguer l’information. et tant pis pour la sécurité des enseignants et des élèves de sa classe? la loi ne dit vraiment rien à ce sujet?
C’est au jeune de prendre la décision si il veut ou pas se prononcer à ce sujet. Les professionnels sont sensées savoir les mesures à prendre en cas de contacte avec le sang. ils le savent Donc cela n’est pas nécessaire de divulguer l’information aux collègues on ne demande pas de transmettre quoi que ce soit aux collègues. Il faut juste prendre les bonnes mesures et les bonnes précautions. mais si ils savaient de qui il s'agit, ne pourraient-ils pas faire encore mieux leur travail avec lui?

Saïd Bahia

je ne demande pas que vous répondiez aux questions, mais que vous y réfléchissiez.
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Cindyb
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Lun 8 Juin - 13:28
Bonjour madame Lebon désolée du retard au question .( je vous ai envoyer un email ce matin)
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Alors je serais contre de communiquer le nom de la personne porteur du HIV . Mais j'organiserai une activité ou on parlerait sujet sans pointer le jeune garçon du doigt mais juste pour que les jeunes soit en sécurité et rassuer sur la maladie mais sans divulguer le nom du jeune garçon car cela permettrait que les autres face à attention à eux mais également sans mettre de jugement sur le jeune garçon.

Bouillez Cindy
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Jessica Lebon
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Lun 8 Juin - 13:36
Cindyb a écrit:Bonjour madame Lebon désolée du retard au question .( je vous ai envoyer un email ce matin)
Dans un SAAE, le directeur est amené à gérer une situation de crise liée au fait que l’un des jeunes accueillis était porteur du virus HIV. En accord avec l’infirmier, le directeur a prévenu les équipes de la situation, sans révéler l’identité du jeune, et leur a rappeler la marche à suivre en cas d’exposition au sang. Inquiets, les professionnels ont saisi leurs syndicats pour évoquer la nécessité ou non d’être informés de l’identité du jeune, voire de prévenir l’école.

Que pensez-vous de cette situation ? Que proposeriez-vous ? Pourquoi ?

Alors je serais contre de communiquer le nom de la personne porteur du HIV pourquoi? . Mais j'organiserai une activité ou on parlerait sujet sans pointer le jeune garçon du doigt mais juste pour que les jeunes soit en sécurité dans ce cas, ne pensez-vous pas qu'ils vont se douter de quelque chose et enquêter pour découvrir de qui il est question? et rassuer sur la maladie mais sans divulguer le nom du jeune garçon car cela permettrait que les autres face à attention à eux ou se méfie de (ou accuse) tout le monde mais également sans mettre de jugement sur le jeune garçon. Et l'école?

Bouillez Cindy

je n'attends pas de réponse à mes questions, juste que vous y réfléchissiez.

Du coup, j'ai répondu à votre mail avant de voir ce message
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Adrien
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4. 3ème cas pratique Empty Re: 4. 3ème cas pratique

Mar 16 Juin - 11:17
Bonjour madame



Je Proposerais que le directeur le dise a l'école et qu ils organisent une prévention pour expliquer aux jeunes de l'école que c'est pas parce que il a le virus HIV qu'il faut le repousser, se moquer qu'il a juste certaine précaution a avoir mais c'est tout . Je propose ça pour que l'école prenne ses disposition et ne mettent pas en danger les élèves et eux même et qu'il ont quand même le droit de savoir.
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